mardi 2 juin 2015

Que faire quand rien ne va plus entre vous et vous ? Quand votre ras le bol de vous-même et vos complexes prennent le dessus ? S'il n'existe pas de panacée - ça se saurait - voici quelques clés qui vous aideront à retrouver le bonheur.
La première chose à faire pour se réconcilier avec soi-même, c'est de découvrir ce que cache la souffrance que vous éprouvez…

A bas la politique de l'autruche

reconcilier 
 Le monde dans lequel nous vivons a une fâcheuse tendance à faire l'autruche face à la souffrance, tant que celle-ci ne s'impose pas d'elle même (jambe cassée, fièvre, lumbago, dépression…). Nous ignorons (très) souvent nos souffrances, voire les méprisons : "bof, ça ira mieux demain". Quand ce n'est pas notre entourage qui nous rappelle à l'ordre : "ce que tu es susceptible !", "arrête de t'écouter" "t'as toujours un truc de travers, hein !"...
Quelle erreur grossière ! Parce que la souffrance, sous son habit peu attrayant, recèle des trésors : comment saurions-nous que quelque chose ne tourne pas rond, que nous sommes à côté de nos pompes si la souffrance ne venait tirer la sonnette d'alarme ? En ce sens, on peut même dire qu'elle est, paradoxalement, plutôt un signe de bonne santé : elle signale qu'il faut réagir à une situation donnée.

Entendre le(s) secret(s) de la souffrance

Mais pas plus qu'on ne devient alchimiste du jour au lendemain, on ne transforme le plomb de ce qui nous fait souffrir en or du bonheur retrouvé en un seul jour. L'une des premières difficultés de l'aventure est de décoder le(s) message(s).
Y réussir suppose de ne pas se laisser envahir par la souffrance. Parfois c'est trop difficile tout seul. Il ne faut pas hésiter alors à demander conseil à un professionnel. Non seulement cela n'a rien de déshonorant mais son aide peut nous permettre de passer un cap qu'on croyait infranchissable. Quoi qu'il en soit, seul ou accompagné, il s'agit d'apprendre à accueillir notre souffrance, à lui donner sa place, et à la respecter sous peine -si on la dénie- de la voir un jour nous submerger.
Donc, la première chose à faire est de se poser afin d'affronter sa souffrance. On peut prendre avec elle une tasse de thé, un verre de jus de fruit ou mettre une musique qu'on aime particulièrement par exemple.
On aura tout intérêt à éviter alcools et excitants. Bien installé, on écoute alors son histoire, de son origine à tous ses composants, sans rien juger, ni censurer... Ce qui est plus difficile qu'il n'y paraît : des sentiments comme l'orgueil peuvent très vite tenter de s'interposer : "pas moi, je suis au-dessus de tout ça". Il s'agit d'apprendre à les écarter, sans violence mais avec fermeté et douceur, afin d'entendre la messagère qu'est toute souffrance. C'est le début de ce qu'on appelle s'occuper de soi.
Apprendre à s'occuper de soi
C'est la réelle aventure à laquelle nous sommes conviés. Nous sommes invités d'abord à constater, sans chicane ni exigence, là où nous en sommes (anxieux, rapide, tyrannique…). Nous sommes appelés à devenir fidèles à nous-mêmes, à nos besoins, nos aspirations, nos valeurs. S'occuper de soi c'est apprendre à s'aimer, tel qu'on est, en perpétuelle transformation (inhérente au fait que nous sommes vivants) et non pas tel qu'on voudrait être ou tel qu'on croit que le monde voudrait qu'on soit. S'occuper de soi, c'est apprendre à devenir soi, en équilibre dynamique entre liberté intérieure et contrainte sociale.
Pour notre bonheur... et celui du monde qui nous entoure.
Geneviève Hervier
Vous en avez assez d'être trop effacé et de ne pas savoir vous imposer ? Vous êtes plein d'idées, vous avez une vraie personnalité créative, mais vous avez peur de déplaire et de l'échec ? Apprenez à développer votre charisme et à oser affirmer vos opinions !
Certes, vous êtes sympathique : c'est une qualité que vos proches vous reconnaissent, mais que vous ne parvenez pas à développer auprès de personnes inconnues. Si vos interlocuteurs vous remarquent si peu, c'est qu'il vous manque une qualité essentielle : le charisme.

Développer la confiance en soi

charismatic 
Vous bafouillez quand vous prenez la parole en public, et préférez vous taire pour éviter de vous confrontez à cette situation. Vous en avez assez de vous imposer ce rôle de figurant silencieux, vous voudriez savoir défendre et affirmer vos opinions. Savoir aborder avec assurance toute situation inconnue, et inspirer le respect d'autrui. Si votre désir de changement est réel, alors vous devriez y parvenir. Pour s'imposer aux autres, il faut avant tout s'imposer à soi même, c'est-à-dire développer la confiance en soi. La plupart du temps, l'inhibition sociale résulte d'une peur d'être critiqué et jugé, et donc de n'être plus aimé. Cette dépendance aux regards des autres exprime un défaut d'estime de soi. Retrouver confiance en vous est l'étape indispensable si vous voulez développer votre charisme.

Acceptez de ne pas être parfait

Vous devrez ensuite choisir de créer le contact au lieu de l'éviter. Il faut que vous osiez prendre les devants sans attendre que l'on vienne vers vous. Certes, sachez choisir le moment, pour ne pas devenir un gêneur. Vous serez à l'aise, si vous êtes le plus naturel possible.
Ne cherchez pas continuellement à approcher la perfection. Si c'est votre cas, vous avez sûrement peur de décevoir l'autre, et ne vous autorisez à prendre la parole que si vous avez quelque chose de brillant à dire. Comme c'est rarement le cas (cela vaut pour chacun d'entre-nous, nos instants de génie sont finalement assez limités !), vous ressortez constamment déçu de vous-même, ce qui affaibli d'autant plus votre confiance en vous.
Soyez moins perfectionniste, osez prendre des risques et donnez vous le droit de ne pas réussir au premier coup.

Avoir du charisme, cela s'apprend

La communication non-verbale concerne les attitudes, gestuelles, positions spatiales, mimiques, etc. Sachez que cela a autant d'impact que le contenu de votre message verbal. Vous devrez apprendre à mieux connaître ces messages implicites que vous faîtes parvenir à votre interlocuteur, afin de pouvoir les maîtriser. Observez attentivement les personnes auxquelles vous aimeriez ressembler, et décodez leurs attitudes, comportements, et stratégies. Sans forcément essayer de les imiter, vous pouvez vous en inspirer afin de créer votre propre mode de communication. Si ce nouveau comportement vous permet d'améliorer votre charisme, il devrait s'intégrer très facilement à votre personnalité !
Sylvie Rochefort

La confiance en soi, ce n'est pas inné. Un peu plus d'estime de soi, d'expérience et de culot peuvent vous permettre de vous affirmer plus facilement. Doctissimo vous donne quelques conseils pour réussir à affronter les autres et réussir ce que vous entreprenez !
Vous souhaitez développer votre confiance en vous, et enfin oser affronter le monde ? Les conseils suivants peuvent vous aider…


1. Ne fuyez pas les regards !
  Dès que quelqu'un vous regarde franchement, vous baissez les yeux ou détournez la tête. Arrêtez de fuir le regard de l'autre ! La communication ne passe pas uniquement par la parole ! Les expressions, les vôtres comme celles de votre interlocuteur, sont importantes. Bien sûr, n'exagérez pas et ne dévisagez pas l'autre à tout bout de champs.

2. Recyclez votre peur !
Vous éprouvez une peur quasi panique dans des situations nouvelles. Ne dépensez pas toute votre énergie et vos pensées à essayer de dissimuler votre nervosité. Essayez au contraire de la transformer en actions : parlez, aller vers les autres…
3. Créez le contact !
Certes, engager la conversation avec un inconnu ou même avec votre voisin de pallier vous semble insurmontable. Dites-vous que tout le monde est nerveux lorsqu'il doit aborder une tierce personne. Justement, forcez-vous à créer le contact au lieu de chercher continuellement à l'éviter. Cela devrait vous rassurer et vous permettre de trouver les meilleurs moyens de nouer des relations.

4. Jetez-vous à l'eau !
Jetez-vous à l'eau ! N'hésitez pas à découvrir de nouveaux milieux et à faire de nouvelles expériences. Petit à petit vous deviendrez capable de vous adapter à de nouveaux contextes en un rien de temps !



5. N'imitez pas !
Certes, il peut parfois être utile de prendre comme modèle quelqu'un qui est toujours sûr de lui. Néanmoins, cette imitation à des limites. La confiance en soi se manifeste différemment selon les personnalités et le style de chacun. Vous ne pouvez donc pas copier votre attitude sur les autres. Cherchez votre propre mode d'expression.

6. Je suis le meilleur !
Utilisez la méthode Coué ! Répétez-vous "je peux y arriver" ou "je suis le meilleur" ! D'accord, la pensée positive donne des résultats pour le moins aléatoires ! Mais cela ne coûte rien et peut s'avérer payant. Car parfois il suffit d'un petit coup de pouce pour passer dans le camp des vainqueurs !


7. Affirmez-vous !
Certes, parler fort n'est pas forcément un signe de confiance en soi… mais cela aide à s'affirmer. Et c'est certainement plus efficace que de chuchoter avec la main devant la bouche ! Regardez également votre interlocuteur dans les yeux et adressez-vous directement à la personne concernée.

8. Ne choisissez pas des objectifs irréels
Votre manque de confiance en vous vient d'un sentiment permanent d'échec ? Arrêtez de vous fixer ou d'accepter des objectifs inaccessibles ! L'une des clés de la confiance en soi est le réalisme : vous devez connaître vos capacités et surtout vos limites ! Eventuellement, segmentez votre objectif en petites étapes intermédiaires. Réussir à passer ces petites étapes vous aidera à réaliser vos buts, à condition de rester dans les limites du raisonnable.

9. Progressez !
Toujours pour éviter ces échecs, vous devez connaître vos erreurs ! Evaluez de manière précise les raisons de vos échecs passés, aussi bien professionnels que privés. En évitant de reproduire d'anciennes erreurs, vous ne pouvez que vous améliorer…

10. Faites du sport !
Choisissez un club de sport près de chez vous. Surtout, inscrivez-vous dans votre catégorie (débutant…) et essayez d'affronter des gens de votre niveau. Vous verrez, les victoires que vous remporterez vous rassureront immanquablement sur vos capacités. D'autant qu'en peu de temps, vous serez vous-même surpris des progrès que vous réalisez.
Alain Sousa
Vous entendez dire beaucoup de choses autour de vous sur l'oedipe, et vous ne savez pas toujours ce que c'est, ni qu'en penser. Séduction ? Pulsion sexuelle ? Rivalité ? Quête d'identification ? Que se passe-t-il dans la tête de vos enfants ? Et comment y faire face ? Voyons ce que l'oedipe nous révèle.

oedipe 
Sigmund Freud fut le premier à parler de l'oedipe. Depuis, beaucoup d'auteurs ont repris sa théorie, mais son point de vue reste fondamental. Pour lui, "c'est un événement majeur dans le développement de la personnalité de l'enfant". Il lui permet de se construire, en s'identifiant aux modèles masculins et féminins qui l'entourent, plus généralement à ses parents. De quoi est-il question concrètement ? 

Jeux de séduction

Entre 3 et 5 ans, le petit garçon commence à désirer sa mère et à rentrer en conflit avec son père, en le considérant comme un rival qui lui barrerait la route et l'empêcherait de la séduire. Il en est de même pour la petite fille à l'égard de son père. Pendant cette période, l'enfant ressent des sentiments contradictoires à l'égard de ses parents, à la fois amoureux et hostiles. C'est une situation ambiguë qu'il va pouvoir gérer grâce à l'aide de ses parents.
Ainsi, ne vous inquiétez pas madame, si votre petit garçon vous demande beaucoup de bisous, vous fait des câlins, des cadeaux… il tente de vous séduire. Et votre fille du même âge a tendance à faire la même chose avec son papa ! C'est une situation normale qui évolue avec le temps, et s'achève vers 7 ou 8 ans. Parents, essayez simplement de leur faire comprendre qu'un enfant ne peut épouser ni son papa, ni sa maman.

Accepter la frustration

Comment réagir face à cela et aider votre enfant à passer cette période sans trop de problèmes ? C'est en le cadrant, en étant clair dans vos attitudes et comportements, que vous amènerez progressivement votre enfant à maîtriser ses désirs, à accepter la frustration. Si tout se passe bien, vous verrez qu'il finira par renoncer à son premier désir, et déplacera son amour sur une autre figure de référence.
Cet épisode a un rôle fondamental dans la constitution de sa personnalité. Essayez de ne pas blesser votre enfant et posez-lui des limites claires en restant attaché à votre position de parent. Cela déterminera plus tard sa capacité à s'investir dans une relation affective et amoureuse. Si votre fille commence à vouloir ressembler à sa mère, et si votre fils fait pareil avec son père, c'est bon signe. Cela marque la fin de cette période, et l'entrée dans "l'âge de raison".
C'est à cet âge que votre enfant commence à se tourner vers le monde extérieur, à se socialiser et à focaliser son attention non plus sur ses désirs mais plus sur ses acquisitions scolaires et intellectuelles en général. Il entre alors dans une phase plus calme, plus sereine.
Dites-vous que si cette étape s'est passée sans trop de difficultés, c'est que votre enfant a intégré les acquis fondamentaux : ceux qui fonderont sa personnalité et son équilibre dans le futur.
Marion Capeyron
Votre enfant est-il surdoué ? 


Si un enfant pose des questions métaphysiques sur la vie et la mort, tout en étant incapable de lacer ses chaussures, est-il maladroit, immature ou tout simplement « surdoué » ? Pour le savoir, faites appel à un psychologue : seuls les tests de QI permettent de poser le "diagnostic". Voici quelques indices qui peuvent vous aider à détecter une précocité intellectuelle…


 "Surdoué", "précoce", "en avance", "haut potentiel", les termes ne manquent pas pour désigner les enfants dont le rythme de développement intellectuel est très supérieur à celui de leurs camarades du même âge. Et pourtant, pour le Pr Laurence Faivre-Douret, neuropsychologue clinicienne, aucun de ces termes ne rend vraiment compte de leurs "aptitudes" particulières.
 La difficulté à définir les enfants intellectuellement précoces repose en partie sur le fait que l'on a peu étudié cette population, longtemps considérée comme marginale. C'est pourtant loin d'être le cas, puisqu'on estime qu'elle représente, en France, environ 400 000 enfants en âge d'être  scolarisé (si l'on considère un QI supérieur à 125), soit 1 à 2 enfants par classe.

Un fort désir d'apprendre à lire

Mais à quoi reconnaît-on un enfant intellectuellement précoce ? Tout excellent élève cache-t-il un surdoué ? Pas si simple. Certains enfants intellectuellement précoces sont au contraire des cancres car inadaptés au système scolaire. En fait, il n'existe pas de profil type du surdoué mais plutôt une liste d'indices. Les enfants surdoués ont d'abord été des bébés très éveillés. Dès la naissance, ils ont un regard scrutateur et ils marchent généralement autour de 12 mois (au lieu de 14). Le langage oral est acquis avant l'âge de deux ans. Les enfants intellectuellement précoces ont une caractéristique commune : ils manifestent un fort désir d'apprendre à lire avant l'âge de 6 ans. D'ailleurs 90 % d'entre eux savent lire à l'entrée au cours préparatoire.

Questions d'adulte, besoins d'enfant…

Mais si ces enfants lisent beaucoup et rapidement, leur écriture est souvent très mauvaise. Ce que Jean-Charles Terrassier, psychologue, spécialiste du "surdouement", explique très bien : "chez ces enfants, la main et le développement psychomoteur en général, tout comme l'affectif, n'a pas suivi le rythme du développement de l'intelligence. Ce paradoxe s'inscrit dans un décalage plus global : la dyssynchronie, qui fait qu'un enfant surdoué pose des questions d'adulte tout en ayant les besoins affectifs d'un enfant". Les questions variées et la volonté de connaître le pourquoi de tout sont un autre signe de précocité. Ces enfants-là sont intéressés par l'Univers, les problèmes métaphysiques de l'homme, les limites de l'espace. Ils changent aussi souvent de passions, c'est leur côté touche-à-tout. S'ils présentent un attrait particulier pour les jeux compliqués, ils sont, en revanche, très vite ennuyés par les activités de routine. De même, ils choisissent des camarades plus âgés et aiment discuter avec les adultes. Enfin, ce sont des enfants très sensibles à l'injustice même si celle-ci ne les concerne pas directement.
"Mais tous ces traits de personnalité ne sont que des indices, rappelle Jean-Charles Terrassier, seuls les tests psychométriques classiques (tests de QI) effectués par des psychologues permettent d'attester la précocité intellectuelle de l'enfant". Donc si vous pensez que votre enfant est précoce, vous devez consulter un pédopsychiatre ou un psychologue afin d'évaluer au mieux la situation. Vous pourrez alors prendre les meilleures décisions pour votre enfant, en toute connaissance de cause.
Stéphanie Lavaud

Sources :
"Identification et prise en charge de l'enfant intellectuellement précoce". Medec 2003


La grande famille de 6 enfants ou plus est de plus en plus dépassée. La grande famille a généralement une culture différente et diamétralement milieu à celui de la petite famille. Interaction parentale est rare, voire inexistante. À la suite de ce petit ou de l'interaction parentale nulle enfants de familles nombreuses ne le fait pas développer la relation étroite avec leurs parents que les enfants des petites familles ont. En fait, le concept d'une relation étroite et intense parent-enfant dans les familles est tout à fait un anathème pour employer un euphémisme.




En outre, comme il est impossible ou presque de façon pour les parents de familles nombreuses pour augmenter efficacement un tel grand nombre d'enfants effectivement par eux-mêmes, il ya une attente des parents non écrite et tacite que le plus ancien enfant plus âgé /, en particulier les filles, à élever leurs jeunes frères et sœurs. Cette phénoménal est appelé l'enfant parent fié. Ce sont les enfants qui assument les rôles parentaux dans leurs familles, au lieu d'avoir une enfance normale.


En raison de l'interaction des parents peu ou pas avec leurs enfants en grand pour des familles très nombreuses, il est assez répandu pour les enfants d'interagir principalement avec l'autre. Soit ils se soulèvent et / ou de l'autre. Les enfants ayant peu ou pas d'interaction parents ont des niveaux de maturité intellectuelle. Ils possèdent plus de manières enfantines parce que tous ils interagissent avec les autres sont les enfants qui sont en bas, même, et / ou niveau plus élevé. Il n’est pas rare que les enfants de familles nombreuses à déclarer qu'ils apprennent davantage de leurs frères et sœurs que ce qu'ils font de leurs parents. Des études montrent que, pour les enfants à se développer correctement, l'interaction des parents est importante; Toutefois, ce manque dans la grande famille moyenne.



Oui, il ya une différence marquée entre les enfants de petite et les enfants de familles nombreuses en termes d'interaction parentale et dans le développement intellectuel / académique. Enfants de familles nombreuses sont également inculquées pas à la valeur de leur individualité et à se considérer comme pour être mis d'un groupe. Ils ont souvent peu ou pas de sentiment de soi parce qu'ils ont appris que pour avoir un sentiment de soi est considéré comme auto-indulgence, égocentrique, et en général, égoïste. Ils sont appris à ne pas exprimer leurs besoins et leurs besoins individuels sont derniers.

La notion de vie privée est nulle dans l'environnement de famille nombreuse. Ils apprennent que la vie privée est totalement inutile. Les psychologues et les sociologues ont souligné l'importance de l'espace personnel et d'intimité pour la psyché humaine, mais il tombe sur les oreilles sourdes dans les grandes familles. Les gens dans les grandes familles sont utilisés pour faire les choses dans les foules. Ils ont une mentalité de foule et sont tout à fait à l'aise avec la solitude et / ou d'être seul. Il ya plusieurs façons dont l'environnement de famille nombreuse diffère considérablement de celle de l'environnement petite famille! Ajoutons à la discussion sur ce sujet passionnant!